水曜日, 12月 13, 2006

Welcome party, marvelous spaghettis

Samedi 7/10/06, je rattrape la montre.

Ce matin donc réveil à 7h, tête dans le cul comme ça arrive rarement, et jusqu’à ce que Marie passe récupérer son parapluie chez moi, pour aller à la « Welcome Party » du groupe Mori, dans les locaux de la Tohoku Fukushi Daigaku à 2 pas de l’Intl House. Tous les nouveaux étaient là, et j’ai pu découvrir qu’il y avait 3 autres français inconnus au bataillon, mais aussi plein de chinois, de ricains, de coréen(en)s mais aussi allemands, suédois, indonésiens, taïwanais, un gars des îles Marshall, une mongole, une brésilienne, une philippine et d’autres encore.
Encore une fois, les bénévoles ont été géniaux, on a pu manger à foison et on a enchainé les présentations par nation. Petit moment croustillant, quand une des bénévoles qui devait plus être toute jeune, a voulu servir du jus de pomme dans un verre. Elle a lutté et a quand même réussi à remplir un demi-verre avec tout le pichet, en offrant à la nappe une cure de rafraichissement. Ce fut dur de parvenir à ne pas se pisser dessus en voyant ça, mais on est parvenu à garder notre sérieux quand même (ici on ne déconne pas avec les anciens) sans rien faire transparaitre, même si du coup c’était dur du coup de trinquer avec un verre vide.

En sortant de tout ça, j’ai suivi les coréennes pour aller acheter un vélo, mais Laurent m’a dit qu’il pouvait m’en filer un donc j’ai rien acheté au final. Le problème en rentrant, c’est que le dit vélo, c’était une clef de cadenas sans vélo, et qu’on n’a pas réussi à trouver lequel ça permettait de déverrouiller. Du coup, toujours pas de vélo.

Ensuite, petites courses, petite sieste et cuisine. J’ai préparé une sauce tomate digne d’une mama italienne, et j’en ai profité pour faire partager ces spaghettis-sauce maison avec, pour changer, les coréennes. Heureusement j’ai pas raté la sauce et les pates ne collaient pas, j’ai eu chaud. Si après une journée comme ça j’ai pas marqué des points !

Ca n’était vraiment pas vilain comme repas.

Bon c’est bien beau tout ça, mais la route est encore longue.
Les coréennes elles ne marchent pas pareil que les japonaises, qui elles-mêmes marchent pas du tout comme les françaises. Donc on verra bien...